BZH1
| Propriétés |
| Nom de la Tribu : | BZH1 |
| Tag : | BZH1 |
| Nombre de membres : | 1 |
| Nombre de points des 15 meilleurs joueurs | 512 |
| Points totaux : | 512 |
| Moyenne de points : | 512 |
| Rang : | 70 |
| » Fiche de la tribu (page externe) |
Membres de la tribu
| Nom |
Rang |
Points |
Classement général |
Villages |
kris56
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1 |
512 |
463 |
1 |
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| Description |
BZH1 a été fondée par kris56. Si tu as des questions, contacte kris56.
Les BZH de Kerfouët – Peuple farouche des terres mouillées
Bienvenue à Kerfouët, hameau reculé où même le GPS abandonne.
C’est ici que vit la redoutable tribu des BZH, fiers guerriers bretons dont la devise est :
“Plutôt mourir trempés que sobres et vaincus !”
Organisation militaire (en théorie)
Chef suprême : Yannig le Poilu, invaincu au combat depuis qu’il a perdu son épée dans la rivière.
Chef spirituel : Mam’Gwen, détentrice du chaudron sacré, dans lequel mijotent soupes, potions et parfois les restes de Yannig.
Trompettiste officiel : Loïc-le-Soufflé, capable de faire fuir l’ennemi à cinquante mètres juste en s’échauffant.
Rites et coutumes
Chaque bataille commence par un rituel sacré :
le Lever du Kouign-Amann (symbole de puissance et de taux de cholestérol élevé).
Les guerriers se peignent le visage avec du beurre demi-sel et hurlent leur cri de guerre ancestral :
“À l’hydromel, pas à genoux !”
Armes et stratégie
Leur armement se compose essentiellement de :
haches forgées à la main (et rouillées depuis 1532),
boucliers décorés de triskells et de taches de cidre,
et la terrible bombarde de guerre, arme sonore de destruction massive.
La stratégie est simple : foncer droit devant en hurlant, puis négocier un armistice autour d’une crêpe complète.
Territoire
Leur royaume s’étend du menhir du champ d’à côté jusqu’au bar-tabac « Chez Rozenn ».
Frontière naturelle : la flaque géante devant la boulangerie après chaque pluie — soit environ 340 jours par an.
Légende locale
On raconte qu’un jour, les BZH ont tenté d’envahir le village voisin...
Mais ils se sont arrêtés en route pour un fest-noz, et ne sont jamais repartis. |
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